Retour sur les tribulations du traité budgétaire européen devenu traité de solidarité économique européen. Après le refus opposé par la gauche, le débat sur un pacte de croissance, la nouvelle dégringolade des bourses, un nouveau texte va finalement être ratifié. France Parallèle ne vous explique pas tout, mais presque...et pour cela, quoi de mieux que de se plonger dans une série bien connue.
mardi 30 octobre 2012
lundi 29 octobre 2012
TELEPHONES ROUGES
COHABITATION
La piqûre de
Martine
En
marge d’une remise de médaille à Matignon, Martine Aubry a sévèrement taclé le Président de la
République .
Alors
qu’elle remettait la médaille de l’Académie des sports à Johann Diniz, le
marcheur français, héros malheureux des jeux olympiques de Londres, la Première
Ministre a cru bon de rappeler les propos de Nicolas Sarkozy en 2009
(« même Astérix prend de la potion magique », disait-il sur RTL au
micro de Laurent Bazin). Elle a déclaré, tout en finesse, préférer
« l’éthique sportive défendue par Johann Diniz, avec ses valeurs d’effort,
de patience, de générosité et d’honnêteté, au culte du résultat dont
l’actualité nous fournit un terrible exemple. […] ceux qui plaisantaient, hier,
sur la potion magique de Lance Armstrong, sont ceux-là même qui défendent
systématiquement, et avec le même cynisme, la raison du plus fort. »
Pour
l’heure, Astérix n’a pas souhaité réagir…
mardi 23 octobre 2012
BHL, de Benghazi à Damas
Il faut intervenir en Libye disait Bernard-Henri Levy. Et Nicolas Sarkozy est intervenu en Libye.
Pour le moment personne n'a pris le risque d'intervenir directement en Syrie.
Il faut intervenir en Syrie dit BHL cette semaine dans sa tribune de l'hebdomadaire LE COIN. Malgré tout.
mercredi 17 octobre 2012
Le ministre Vikash Dhorasoo félicite les bleus
Son mutisme en matière de football commençait à peser. Le ministre des sports Vikash Dhorasoo, pourtant si prolixe, ex-footballeur décalé et ministre tout autant décalé, promoteur du football durable, ne s'était pas exprimé sur les performances de l'équipe de France. Il est enfin sorti de sa réserve
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mardi 2 octobre 2012
Elle sort de son silence
France Parallèle a pu se procurer la première interview de Valérie Trierweiler depuis la défaite de François Hollande, à paraître demain. Elle s'est confié au Magazine Marie C.
Septembre 2012
Cinq mois après la défaite de François Hollande, Valérie Trierweiller
nous reçoit dans son appartement parisien.
Elégante et décontractée, c’est en toute simplicité qu’elle a accepté,
pour la première fois depuis l’élection, de répondre à nos questions.
Marie-Chantal : Comment
allez-vous, Valérie Trierweiller ?
Valérie Trierweiller : Je
vais très bien, je vous remercie. Vous ne lisez pas mes tweets ?
M-C : A propos de tweets,
vous gazouillez beaucoup depuis le 6 mai… Les réseaux sociaux sont-ils un
exutoire ?
V. T. : Je n’ai pas attendu
le 6 mai pour gazouiller, comme vous dîtes. Mais il est vrai que le résultat de
l’élection a sans doute fait de moi une femme plus libre que je ne l’aurais été
si François Hollande avait été élu…
M-C : On vous sent presque
soulagée…
V. T. : En un sens, je le
suis. Etre la compagne d’un président de la République est un chemin semé
d’embuches, Carla Bruni pourrait vous en parler, qui n’en a évité presque
aucune !
« Ségo, je la connais bien,
je
vis avec le père
de ses enfants ! »
M-C : Cependant sa carrière
semble sur le point de rebondir, alors que la vôtre a connu un certain coup
d’arrêt.
V. T. : Si vous voulez
parler de sa dernière chanson, cela ressemble plus à une gaffe qu’à un rebond,
si vous voulez mon avis. Et quand à mon renvoi de Paris-Match, chacun en tirera
les conclusions qu’il voudra, mais ma compétence professionnelle n’a jamais été
mise en cause.
M-C : La direction a
expliqué que votre renvoi faisait suite à votre tweet sur l’élection de
Ségolène Royal à la présidence de l’Assemblée Nationale (« une grue élue au perchoir #segoleneroyal », ndlr)
V. T. : L’expression était
malheureuse mais je m’en suis expliquée, il s’agissait d’un « private
joke », sorti de son contexte, entre Ségolène et moi. Vous savez, Ségo, je
la connais bien, je vis avec le père de ses enfants ! (elle rit) Sérieusement, il y a longtemps que nous avons baissé les
armes toutes les deux. Il n’y avait, d’ailleurs, pas lieu de se battre. Quand
naît un véritable amour entre deux êtres, il n’y a qu’à s’incliner, et Ségolène
a bien fini par le faire. Aujourd’hui je souhaite simplement que sa nouvelle
fonction puisse combler ses carences affectives, dans la mesure du possible.
« maintenant François
sait
sur qui il peut compter »
M-C : Comment votre couple a-t-il
traversé la défaite ?
V. T. : Très bien, merci.
Certaines femmes ne sont attirées que par le succès, la réussite, ce n’est pas
mon cas. Je trouve qu’un homme dans la défaite acquiert de l’épaisseur. Notre
amour est plus fort qu’hier, et je ne suis pas certaine que j’aurais pu dire la
même chose si François avait été élu.
M-C : Il parait bien seul
aujourd’hui… Qu’avez-vous pensé des commentaires de ses « amis » du
parti socialiste après le 6 mai ? Arnaud Montebourg a parlé d’une
« défaite normale »…
V. T. : Je n’ai pas été
étonnée. Au moins maintenant François sait sur qui il peut compter.
M-C : Sur qui,
justement ?
V. T. : Sur moi.
M-C : Quels sont vos projets,
Valérie Trierweiller ?
V. T. : J’écris en ce moment
une biographie de Gena Rowlands, une actrice que j’admire, et je suis en train
de monter un cabinet de conseil en communication sur internet.
M-C : Valérie Trierweiller,
merci.
Propos
recueillis par Marie–Alix de la Chouffe
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