![]() |
Cliquez sur le document pour zoomer |
mercredi 30 mai 2012
Cris et chuchotements...
mardi 15 mai 2012
Où vont les droites?
L'Europe tangue et l'élection de Nicolas Sarkozy ne peut, à elle seule, stabiliser le bateau. L'Espagne ne boucle pas ses fins de mois et la Grèce s'enfonce, après des élections qui voient les partis principaux (pro-plan d'austérité) s'effondrer au profit de la gauche radicale et des néo-nazis.
France, Grèce, deux élections qui soulignent, une fois de plus, la montée de l'extrême-droite dans notre vieille Europe. Les néo-nazis font plus de 6% dans le berceau de la démocratie.
Quant à la pompeusement (ou habilement) nommée "patrie des droits de l'Homme", les quasi 18% de Marine Le Pen n'incitent pas à l'optimisme.
Pendant la campagne pourtant droitière, Nicolas Sarkozy avait affirmé qu'il n'y aurait pas d'entente aux législatives, pas de ministre FN dans son nouveau gouvernement.
Les rumeurs sur sa composition montrent qu'il en est autrement. Marine Le Pen gagnerait alors son pari malgré la victoire de son ennemi Sarkozy.
La droite infiltrée, une partie de l'UMP renâcle. La majorité présidentielle version droite populaire sous menace de tutelle frontiste, voilà un scénario difficile à accepter pour les Jean-Louis Borloo, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin, Dominique de Villepin et quelques autres. C'était il y a quelques jours. C'était il y a un siècle. Premier Ministre, Juppé croit-il avoir assez d'influence pour empêcher la présence du FN dans son gouvernement ou croit-il être assez habile pour pouvoir la gérer sans se renier ?
Malgré la victoire de Nicolas Sarkozy la majorité reste dans un état de tension extrême. Le spectre de l'implosion de la droite n'a pas disparu.
France, Grèce, deux élections qui soulignent, une fois de plus, la montée de l'extrême-droite dans notre vieille Europe. Les néo-nazis font plus de 6% dans le berceau de la démocratie.
Quant à la pompeusement (ou habilement) nommée "patrie des droits de l'Homme", les quasi 18% de Marine Le Pen n'incitent pas à l'optimisme.
Pendant la campagne pourtant droitière, Nicolas Sarkozy avait affirmé qu'il n'y aurait pas d'entente aux législatives, pas de ministre FN dans son nouveau gouvernement.
Les rumeurs sur sa composition montrent qu'il en est autrement. Marine Le Pen gagnerait alors son pari malgré la victoire de son ennemi Sarkozy.
La droite infiltrée, une partie de l'UMP renâcle. La majorité présidentielle version droite populaire sous menace de tutelle frontiste, voilà un scénario difficile à accepter pour les Jean-Louis Borloo, Alain Juppé, Jean-Pierre Raffarin, Dominique de Villepin et quelques autres. C'était il y a quelques jours. C'était il y a un siècle. Premier Ministre, Juppé croit-il avoir assez d'influence pour empêcher la présence du FN dans son gouvernement ou croit-il être assez habile pour pouvoir la gérer sans se renier ?
Malgré la victoire de Nicolas Sarkozy la majorité reste dans un état de tension extrême. Le spectre de l'implosion de la droite n'a pas disparu.
Libellés :
aube dorée,
Borloo,
FN,
gouvernement,
Grèce,
Juppé,
Raffarin,
Sarkozy,
Villepin
lundi 14 mai 2012
dimanche 13 mai 2012
lundi 7 mai 2012
dimanche 6 mai 2012
Inscription à :
Articles (Atom)